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Tag créatriceabuter sur Marvel DC Timeline X Over 809609CatgorieSujet: Do you want to ... dance with me tonight ?
Karen Losiri

Réponses: 7
Vues: 638

Rechercher dans: Mexico   Tag créatriceabuter sur Marvel DC Timeline X Over EmptySujet: Do you want to ... dance with me tonight ?    Tag créatriceabuter sur Marvel DC Timeline X Over Icon_minitimeLun 8 Mai - 15:12
Habituellement amusée dans ce genre d'événements, Karen ne voyait qu'un immense schéma où il fallait étudier la moindre variable. La mission entrait en ligne de compte, mais ses propres motivations également. Tous ces types faisaient partie du cartel, que ce soit des brutes endoctrinées ou des imbéciles n'ayant guère le choix, ils n'étaient pas vraiment différents des mafieux de New York. Bon, ils aimaient beaucoup les machettes et les autres les flingues, il est vrai. Dans tous les cas, ces abrutis ne faisaient que prendre ce qu'ils voulaient, détruisant des vies, sans se soucier des conséquences. Si elle avait une bombe, elle aurait fait exploser tout le bâtiment, une déclaration de guerre pour le cartel, mais bon, c'est pas comme si c'était la première fois qu'elle attaquait l'organisation. Le facteur risque de cette salope d'Ophelia, alias Madame Hydra #créatriceabuter n'était pas non plus à négliger. L'éliminer maintenant rendrait service à tout le monde, mais l'assassin était certaine qu'avec la technologie de cette dernière, aucune de ses balles ne l'atteindrait et encore moins ses lames. Et encore, la dernière fois, elle avait tout simplement attrapé son couteau de lancer en vol et le lui avait renvoyé en entaillant légèrement sa gorge. En combat physique, malgré ses techniques de combat, elle se ferait mettre à terre en deux secondes. Elle connaissait la moindre de ses attaques et s'adaptait à chaque nouvelle. Elle avait déjà affronté des personnes à une force bien supérieure à un humain, les gardes du corps n'étaient là que pour exprimer clairement son rang. Le nombre de fois où elle avait défiée les Avengers et qu'elle les avaient mis en échec ne se comptaient plus. Nous parlons quand même d'une créature verte sautant au dessus du Grand Canyon, d'un dieu et d'un des améliorés les plus dangereux que l'on connaisse. Sans parler du fait qu'elle connaissait parfaitement le moyen de la faire retomber dans cet état qu'elle avait tant cherchée à suivre. Autant l'éviter, leur rencontre devait absolument être empêchée ou repoussée. Pour finir, elle se devait de passer une soirée avec sa jeune amie, elle commençait à en avoir marre de passer tous ses moments "intéressants" dans une mission où on tentait de l'éliminer ou la neutraliser.

Respirant un grand coup, elle avança rapidement parmi les invités, avant de rencontrer sa cible. Étrangement, Karen n’avait jamais été vraiment dégoûtée par les hommes, plutôt effrayée et nullement attirée. Enfin, même si cela n’avait pas été le cas, elle n’aurait jamais été entre les mains de ce déchet humain. Lui adressant un sourire charmeur, elle se présenta en plein milieu d’une discussion et naturellement, le vieil homme chassa son autre invité dès qu’il l'aperçut. Il commença par lui offrir un verre, réflexe typiquement masculin, l’assassin ne comprenant pas si il s’agissait d’un geste pour plaire ou un espoir que l’alcool rende la femme désirée plus abordable. Elle accepta, gardant ce sourire charmeur, l’écoutant parler de lui et de ce qu’il avait accompli. Décidément, elle détestait vraiment le champagne, en bonne espionne, elle faisait croire qu’elle appréciait quelque chose, alors qu’elle avait vraiment en horreur ladite boisson. Elle lui demanda si elle pouvait se prendre en photo avec lui, qu’il accepta avec un immense plaisir, demandant à un de ses hommes de prendre le téléphone de la demoiselle.

- C’est vraiment gentil. Le bouton bleu, le rouge c’est pour filmer, la mise au point peut prendre quelques secondes.

Le garde appuya sur le bleu, attendant effectivement sept secondes, avant de prendre la photo, puis le tendit à la jeune femme. Le téléphone fut intercepté par le vieil homme, par pur geste de galanterie visiblement, qui voulait donner lui même l’objet à sa propriétaire.

Bingo.

L’appareil illumina la main du vieil homme sous le sourire de Karen, l’alcool l’empêchant de vraiment comprendre ce qui venait de se produire. L’assassin prétexta qu’il avait dû faire une fausse manipulation, vu que l’écran n’avait pas été verrouillé. S’excusant, il avoua ne pas vraiment être à l’aise avec la technologie. La jeune femme répliquant que cette dernière faisait au contraire partie intégrante de sa vie. Elle finit par se rapprocher, ne laissant pas à un seul moment son dégoût apparaître.

- Sinon, vous ne voudriez pas parler de choses plus intéressantes ? Dans un endroit à l’abri des regards ? J’aurais une affaire terriblement privée à vous soumettre. Si vous êtes en état…

L’homme se releva soudainement, expliquant qu’il était toujours partant pour ce genre d’affaire et la conduisit à l’étage, jusque dans une chambre. Elle détacha légèrement le haut de sa robe, puis le poussa sur le lit. Lui demandant si elle était une femme “dans ce genre là”.

- Si tu savais…

Elle se retrouva à califourchon sur lui, glissa avec sensualité ses mains sur son torse, les emmena sur son visage, puis lui brisa la nuque d’un simple coup. Elle se releva, en soupirant, se disant que l’alcool facilitait effectivement bien les choses. Elle reprit son sac et vit son téléphone biper, visiblement, sa belle acolyte venait de lui envoyer les informations qu’elle comptait prendre après. Elle avait déjà terminée sa tâche et en avait fait une de plus ? Efficace. Un immense sourire fit son apparition sur son visage, après avoir joué un rôle, voila qu’elle pouvait être réellement sous le charme. Belle et efficace, doublée d’une danseuse hors pair,  qu’est ce qu’elle pouvait encore découvrir ? Elle supprima les informations, puis laissa son téléphone s’occuper du contrôle à distance. Elle positionna ensuite ce dernier juste devant elle, recula pour être à côté du cadavre, prit un selfie dans les règles avec le bouton rouge et envoya tout ceci à la mercenaire.

Il n’a pas eu le temps en tout cas. J’espère pouvoir vraiment profiter plus tard Wink

Naturellement, le haut de sa robe avait été gardée détachée pour la photo, ne dévoilant en vérité pas grand chose, mais elle était certaine que cela ferait son effet sur sa collègue. Remettant finalement son habit correctement, elle sortit de la pièce, posa son téléphone sur le lecteur de cartes magnétique, qui se verrouilla juste après et se bloqua. Les joies de la technologies après tout. Elle vit ensuite l’autre message de la mercenaire, se retenant de justesse de rire, lui répondant immédiatement.

Fatality ? Un minimum syndical quand même. Rejoins moi au salon.

Elle prit le chemin dudit endroit, décoré de peintures hors de prix, qui ne ressemblaient à rien, ainsi que de nombreuses antiquités. L’art et elle, ça faisait clairement deux. D'après le scan du Wayfinder, l'ascenseur privé, seul accès pour les sous sols, se trouvait dans cette pièce. Sa jeune amie vint la rejoindre quelques secondes après et ferma la porte derrière elle. Karen appuya sur une touche et une immense lumière bleue surgit du téléphone et illumina toute la pièce, avant de revenir dans l’appareil et de recommencer, trois ou quatre fois. Finalement, l’assassin afficha un sourire satisfait, toucha l’épée d’une armure et le mur d’en face coulissa, révélant un ascenseur ultra moderne.

- Tu as la clé ? Bien, dépêchons nous avant que…

Elle entendit la porte s’ouvrir, ainsi que des applaudissements, fermant les yeux, elle se retourna et les ouvrit. Elle vit ainsi cette femme aux cheveux noirs, aux yeux verts, à la robe de soirée de la même couleur et qui n’avait pas le droit d’être aussi canon alors que c’était une véritable ordure.

- Je vous dérange peut être ? A peine arrivée tu tue déjà quelqu’un. White, my beautiful Lady. J’aurais dû me douter que c’était toi. Embrasser une femme au milieu de tous ces homophobes, il fallait oser. Je crois que je t’ai laissée suffisamment courir, il est grand temps pour toi de rentrer au bercail.

Ouvrant la porte de l'ascenseur, elle s’y précipita, sortant le pistolet de son emplacement si particulier et descendit les deux gardes du corps d’une balle dans la tête, tandis que la troisième balle fut arrêtée par un champ de protection juste devant cette femme aux yeux verts qu’elle détestait tant.

- Oh excuse moi ? Tu me parlais ? Désolé, j’ai dû activer mon filtre anti pétasse. J’ai absolument rien compris.

S’emparant de la clé de sa collègue, elle ferma les portes, juste au moment où une dague lui fut lancée, à une vitesse stupéfiante. Elle dévia le projectile, s’entaillant le bras, mais toucha de ce fait son alliée. C’était très léger, à peine quelques gouttes de sang pour l’asiatique, pour elle, c’était plus grave.

- Tsss, mais ce qu’elle est chiante celle là.

Sortant un bandage noir de son sac, elle l'entoura autours de sa blessure et soupira un grand coup. Le coup avait été plus embêtant qu’autre chose, l’anti douleur avait immédiatement fait effet et le sang ne coulait plus, voila qui était réglé. Ramassant la lame, elle toucha le sang de sa collègue, puis essuya ce dernier avec un mouchoir, qu’elle rangea dans son sac, tout en lui tendant la lame, toujours plantée dans l'ascenseur, pourtant blindé.

- Adamantium, je vois qu’on se refuse rien. Quoi ?

La mercenaire semblait ignorer la situation, ayant un rictus qui signifiait visiblement qu’elle se retenait de rire. Souriant, Karen soupira, avant de rire légèrement, comprenant la situation. Elle n’avait pas été marquée par le fait qu’elles soient repérées, mais par ce que l’assassin avait répondu.

- Allez, lâche toi.

Sa collègue éclata de rire, tandis que la jeune femme regardait le nombre de balles de son pistolet, plus que sept, c’était juste. Alors que son acolyte riait encore aux éclats, la porte de l'ascenseur s’ouvrit et deux hommes firent leur apparition, que Karen élimina sans même les regarder, toujours d’une balle dans la tête. Elle passa ensuite sa main sur la panneau de commandes de l'ascenseur, grimaçant de douleur, tandis qu'il s'éteignit, rendant ce dernier inactif.

- Cinq balles, reste treize débiles.

Elle fit une roulade, utilisa la lame de sa charmante créatrice, la planta dans le pied de l’homme le plus proche, se releva alors qu’il hurlait, puis envoya son talon directement dans sa gorge. Dommage, elle aimait beaucoup ses chaussures, la robe non plus ne serait pas récupérable. Tant pis, c’est le risque dans son métier. Se retournant, elle reprit la lame et l’envoya directement dans la tête d’un autre qui prenait sa collègue par surprise. L'assassin eut juste le temps de se mettre à l’abri, puis tua deux autres avec son pistolet. Les choses sérieuses commençaient et elle n’avait toujours pas parlé de boire un verre avec tout ça. Bordel !

- On se retrouve à la porte darling, j’ouvrirai la chambre forte. On flingue ces connards et on discute de...Mais bordel je parle là !

Utilisant la lame dissimulée dans son bracelet, elle esquiva la rafale, puis planta avec une certaine colère l’arme dans la gorge du garde qui venait d’arriver. Grognant, elle attrapa le fusil d’assaut de sa victime, qui se noyait dans son sang.

- Je déteste être interrompue. Je vais vous apprendre la politesse. Let’s rock !
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